Séoul - la suite
Ça me fait tout drôle de me poser sur l’écriture de cette newsletter après ces 10 jours en Corée. C’est la première fois que je pars seule et j’en ai profité principalement pour faire deux choses : reprendre l’écriture entamée cet été et me challenger. J’ai dû déjà vous en parler lors de mon précédent séjour là bas : je trouve que c’est beaucoup plus facile de se dépasser et de sortir de sa zone de confort lorsque l’on est pas chez soi. C’est comme si on passait en mode incognito et que soudain tout était permis.
Justement, en écrivant ces lignes, je repensais à un article que j’ai lu récemment dans le new yorker, qui défend l’idée inverse : le voyage ne nous transformerait pas vraiment, que l’on reviendrait toujours exactement la même personne, avec les mêmes croyances, les mêmes habitudes, la même vie. Une sorte de boomerang existentiel.
...